Lundi 15 février
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20:07

Par définition, l'esclave est la propriété de sa Maîtresse, il est donc courant que celle çi use différents moyens pour explicité son appartenance.
Le collier, de plus de servir d'accessoire
pour des jeux d'animalisation (conféré l'article "L'esclave animal") est un outil très utiliser pour symboliser l'appartenance du soumis.
Il est possible que l'esclave doive le porter en public, si il est assez discret pour être caché derrière un col, voire complètement voyant si le soumis est consentant, mais il risque de
détériorer sa vie sociale.
Le tatouage est aussi un moyen de symboliser l'appartenance du
soumis, un code-bar comme sur cette photo est particulièrement explicite, comparant l'esclave à une simple marchandise, mais il peut aussi avoir un lien plus direct envers la relation concerné,
comme par exemple le nom ou les initiales de la Maîtresse, ou encore un court message du style: "Propriété de Madame ***", cherchez dans votre imagination quelque chose d'original!
Le tatouage peut être plus ou moins voyant selon le degré de soumission de l'esclave, et les contraintes de la vie en dehors du jeu BDSM.
Mais Attention, un tatouage n'est pas quelque chose qui s'enlève facilement, il vous faut bien réfléchir avant de passer à l'acte, la relation doit être très sérieuse, pour être sure qu'elle
continuera pendant longtemps, toute la vie au mieux!
Si le tatouage demande beaucoup de réflexion, il est
incomparable au marquage au fer, qui, à moins d'intervention chirurgicale, est une marque à vie, et très dangereuse.
Il y a des risques d'infections importants, d'autant plus que cette pratique est très peu courante, et qu'il est très dificile de s'informer des risques et des soins nécessaire après le marquage,
je ne les connait d'ailleurs tout simplement pas!
Un soumis marqué est ainsi analogué à du vulgaire bétail.
Cette pratique était malheureusement utilisé dans l'histoire pour marquer les esclaves, en particulier lors de leur importation en Amérique, cette tragédie est une raison de plus pour prendre du
recul par rapport à cette pratique, n'oubliez pas que le marquage est irréversible!
Peu connu, le piercing est aussi une de ces pratiques
symbolisant l'appartenance du soumis, la Maîtresse peut choisir de percer son soumis, vu que son corps lui appartient, c'est tout à fait légitime, mais il faut que la relation soit quand même un
minimum sérieuse pour que le soumis soit consentant.
Cela peut aussi avoir un coté pratique, le port d'anneau sur les seins peut servir à poser des poids par exemple.
Il est très tentant d'en faire un sur le sexe (comme sur la photo) mais cela demande beaucoup d'entretien pour limiter les risques d'infections urinaires.
Par larbin
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Jeudi 28 janvier
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17:27

C'est un jeu de rôle très utilisé dans l'univers BDSM, il consiste à "transformer" le soumis en animal, le plus souvent un chien ou un cheval, afin de l'humilier physiquement et
psychologiquement.

Comme tout animal, l'esclave devra être dréssé, la maîtresse lui apprendra comment se comporter en bête: faire le beau, marcher à quattre pate et en laisse... cette partie est très exitante autant
pour le soumis que pour la dominatrice.

Le port du collier pour un esclave chien est très important, il simbolise son appartenance à sa maîtresse, et lui rappelle constement sa position par rapport à elle.
Avec un collier, les soumis sont en général plus docile, comme quoi le coté psychologique de ce genre de relation est très important!

Le rôle d'un esclave cheval est de servir de monture à sa maîtresse, porter sa maîtresse est un immense honeur pour un soumis, mais cela demande beaucoup d'endurance.
Cette pratique peut être pimenté par divers équippements, selle, harnais, fouet...
Attention toutefois à la santé du soumis, notement si il a des problèmes de dos.
Quelques images:

Par larbin
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Publié dans : Pratiques
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Mardi 26 janvier
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23:08
Les dominatrices et maîtresses ont un esprit souvent très sadique, elles aiment infliger de la douleur et sentir leur soumis frémir sous leur coups.
Avant toute chose, je précise qu'il n'y a aucun mal à être sadique, on est comme on est! cette pratique devient mal seulement quand elle est exercé sur une personne non consentante.

Il y a de multiples manières de torturer son soumis, votre seule limite est votre imagination! mais voici cependant les plus répandues:
1) La flagelation
Cette pratique consiste à frapper le soumis, ce peut être à la main dans le cadre de giffle ou de fessé, ou à l'aide d'un martinet, d'un fouet, ou tout ce qui vous passe sous la main!

Le soumis est la plupart du temps attaché, afin que, psychologiquement, il n'ai pas l'intention de renoncer dès les premières douleurs.
Cette pratique est souvent utilisé dans le cadre de punition.

Les marques laissés peuvent être impressionnante selon l'objet utilisé et la durée du jeu, le soumis est en général fier de porter les marques que lui a administrer sa maitresse.
ATTENTION: cette pratique comporte de risques et ne doit pas être pris à la légère, il faut absolument s'abstenir de frapper la nuque ou les reins, car cela pourait entrainer une paralysie chez le
soumis!
Pour jouer en toute sécurité, établissez un safeword que le soumis poura exprimer afin de stopper sur le champ la flagellation.
2) Les pinces!

Les pinces provoquent une douleur constement croissante, elle est donc dificile à supporter sur le long terme.

Cette pratique s'accouple très bien avec le bondage, c'est alors une véritable épreuve psychologique pour le soumis.
Pour surmonter la douleur, il doit réussir à séparer son esprit de son corps, à se dire que son corps n'appartiens pas à lui mais à sa maîtresse, et qu'elle est en droit de faire ce que bon
lui semble à ses biens.
Se dire qu'on souffre pour sa maîtresse, que résister est le moyen de lui prouver sa dévotion.
Il faut s'appuyer sur quelque chose, à vous de trouver la raison du pourquoi vous êtes pret à aller jusqu'au bout, et paradoxalement, une fois que vous l'aurez trouver, vous obtiendrez un certain
bonheur.
Les zones les plus utilisés sont: les tétons, le sexe, mais dans le cas d'une pratique très poussé on peut placer des pinces sur la totalité du corps! (réservé aux soumis confirmés)
3) Le trampling (pietinement)

Le principe est simple, l'esclave alongé à terre est pietiner par sa maîtresse, ill y a derriere une valeur symbolique très importante, l'esclave est placé sous sa maîtresse, ce qui révelle
explicitement la hiérarchie d'une telle relation.
L'esclave prend conscience de son infériorité, mais il est comblé de voir que son corps puisse "porter" celui de sa maîtresse.

Cette pratique est très douloureuse, car la pression exercé sur le corps peut être très grande, il est recomandé pour les débutants de commencer avec des pieds nus, puis des chaussures sans talons,
et enfin des chaussures avec!
A la fin, le soumis aura l'immense honeur de porter les empreintes de chaussures de sa maîtresse sur son corps!
C'est tout pour ces exemples, mais n'oubliez pas que votre seule limite est votre imagination!
Par larbin
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Publié dans : Pratiques
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Mardi 26 janvier
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22:38
Le bondage est une pratique très ancienne apparu au Japon, elle consiste à entraver la personne soumise avec différents liens: corde, menotte...
Le soumis ainsi immobilisé aura alors un
sentiment profond d'abandon, il sera confronté au fait que son corps est totalement offert à sa maîtresse, que quoi qu'elle fasse, il ne pourra pas s'opposer.
Les sensations ressentis sont très fortes, on se sent totalement abandonné, on se sent comme un objet, notre corps devient un instrument, au service de notre maîtresse, nulle autre possibilité que
de la laisser faire,réaliser que notre corps ne nous appartient pas, mais qu'il appartient à notre maîtresse...
Toutes ces pensées se mélangent et donne lieu à un unique ressenti: la plenitude.

Poussé dans sa complexité, le bondage devient un art: l'art des noeuds, cette art s'appelle "le bondage peu shibari" elle est utilisé dans le cas d'un homme soumis, mais c'est un rêve dans le cas
d'une femme soumise (Cela vient sans doute du fait que en général une femme attaché à un coté plus artistique qu'un homme attaché, mais ça dépend du point de vue!) .
Il faut beaucoup de talent et de pratique pour arriver à de tels résultats (voir photo) mais le jeu en vaut la chandelle!
Attention: ne laisser jamais une personne seule attaché, un accident est vite arrivé, et cela peut avoir des conséquences très graves.
Pour le bondage sur une longue durée, ne serrez pas trop les liens afin de ne pas perturber la circulation du sang.
Petites photos pour finir:
Par larbin
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Publié dans : Pratiques
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Jeudi 14 janvier
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00:09
Le pied, élément symbolique du corps humain, il représente sa partie la plus basse, et doit supporter le poids du reste du corps.
C'est en partie de cet aspect que proviens de nombreux culte de soumission et de dévouement, embrasser un pied, c'est donc embrasser la partie la plus basse du corps, c'est un élément symbolique
très fort!

Si la personne dominante se tient debout comme sur la photo, la personne soumise devra soit se mettre à quatre pate, soit s'alonger sur le sol afin de pouvoir effectuer un baise-pied, cet acte en
sera d'autant plus humiliant.
Le soumis ainsi placé aux pieds de sa maîtresse sentira sa place, il réalisera son infériorité, se sentira abaissé, et profondément humilié, mais c'est exactement ce qu'il recherche!
Le baise-pied est parfois utilisé comme un rituel, ce peut être la façon pour le soumis de saluer sa maîtresse, ou de la remercier, dans tout les cas, c'est un honneur pour un soumis de pouvoir
toucher les pieds de sa maîtresse.
L'adoration des pied ne s'arrete pas à les embrasser, la dominante peut exiger que son esclave les lave, ce peut être avec de l'eau et du savon, mais c'est bien plus souvent avec la langue!

Tout bon soumis se doit d'accepter cette pratique, c'est l'une des plus répandues, mais aussi l'une des plus désirées!
Le soumis peut soit se tenir à genoux devant sa maîtresse, tenir ses pieds dans ses mains, et les laver, c'est alors lui qui prendra l'initiative.
Mais il peut aussi se tenir allongé sur le dos, devant sa maitresse assise confortablement dans son fauteuil, c'est alors elle qui prendra l'initiative de nettoyer la partie du pied qu'elle voudra
en la plaçant devant la bouche du soumis ou en l'introduisant directement dans cet orifice.

Pour la maîtresse, c'est un réel plaisir de sentir la douce langue de son soumis glisser le long de sa plante et venir se glisser entre ses orteils, il y a aussi
l'idée de satisfaction qu'une personne se donne la peine de lui laver ainsi les pieds pour son seul plaisir, car dans cette pratique, le soumis trouve le bonheur en le procurant à sa maîtresse.
Pour le soumis, la principale difficulté est de résister aux odeurs, et à la saleté qu'il pourrait y avoir, il est preferable pour les débutants de commencer sur des
pieds déjà lavé.
Pour les plus confirmés, cette pratique peut être pimenté si la dominante vient de faire du sport, ou si ses pieds sont vraiment tres sales (recouvert de boue par exemple) c'est tres dificile, mais
les sensations recueillis sont beaucoup plus fortes.
Alors messieurs vous sentez vous de taille à user de votre langue pour laver ces jolis petons?
Par larbin
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Publié dans : Pratiques
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